SignéElodie Menant et mis en scÚne par Johanna Boyé, ce spectacle dynamique amÚne le sport de compétition sur les planches. Je ne cours pas, je vole ! est un sprint

mercredi 4 aoĂ»t 2021 2005 Écrit par Xavier Paquet Par Xavier Paquet - Etre seul face Ă  soi-mĂȘme, ses errements, ses tourments, ses Ă©preuves. Etre seul face Ă  l’adversitĂ©, la sienne, intĂ©rieure, et la concurrence. Etre seul face Ă  son destin. Ce questionnement personnel nous traverse tous Ă  un moment de maniĂšre plus ou moins profonde. A travers le prisme du sport et de la pratique du haut niveau, il en devient universel. C’est aussi celui de Julie Linard, championne de 800m et qui rĂȘve d’une mĂ©daille olympique, pierre angulaire de la piĂšce. Une athlĂšte autour de laquelle se concentrent les espoirs d’une nation, les attentes d’un entraineur, la passion d’une famille. Une vie qui s’organise entre entrainements, compĂ©titions, remises en questions, attentions de l’entourage entre un pĂšre qui pousse sa championne de fille, une mĂšre bienveillante et plus soucieuse et un frĂšre qui rĂȘve lui aussi d’exploits mais qui, Ă  cause d’une anomalie cardiaque, ne peut les vivre que par procuration. L’équilibre est prĂ©caire, la tension permanente, la quĂȘte de performance obsessionnelle passer mon temps Ă  vouloir gagner du temps ». Jusqu’au point de non retour. La blessure. Le corps meurtri, l’usure physique, la fatigue mentale, la perte de confiance. Y croire et avancer ? S’en remettre et se reconstruire ? La douleur comme point de dĂ©part ou d’arrivĂ©e ? Dans cette superbe piĂšce, Elodie Menant aborde, avec passion et talent, la pression qui s’exerce sur une championne. D’abord la sienne, la construction de soi, dans la performance et l’acharnement vers un accomplissement, la recherche de la perfection. Et celle des autres poussant Ă  la lassitude, Ă  la douleur physique et Ă  la dĂ©tresse psychologique. Les dialogues sont multiples, directs, modernes, avec une Ă©criture ciselĂ©e et brĂšve donnant du rythme Ă  l’ensemble, renforçant encore la scĂšnes se multiplient sous forme de tableaux, mĂȘlant des Ă©changes au 1er plan comme des expressions en arriĂšre plan donnant encore plus de profondeur et de sous textes Ă  l’ensemble. La mise en scĂšne est soignĂ©e avec une rapiditĂ© de jeu, du rythme et des enchainements huilĂ©s et dynamiques mais aussi des temps de pause, des moments plus suspendus renforçant la tension ou apportant l’ paroles se mĂ©langent aux corps, l’énergie est prĂ©sente mais les mouvements sont maitrisĂ©s avec des tableaux chorĂ©graphiĂ©s, des performances corps sont affutĂ©s, tendus, les muscles saillants dans des sĂ©quences presque dansĂ©es alternant avec des chorĂ©graphies dĂ©composĂ©es, Ă  la limite du slow motion, parfois silencieuses mais toujours en tension. Entre intensitĂ© et ralentissement, le cƓur bat au rythme des foulĂ©es. La troupe fonctionne en Ă©quipe avec des changements de jeu Ă©nergiques et des ruptures nettes, ils sont dans une dynamique collective oĂč, comme en sport, ils se portent les uns les autres pour faire vivre le destin de Julie et de ceux qui l’entourent famille, amoureux, coach mais aussi commentaires sportifs volubiles et trĂšs drĂŽles et grands champions Manaudou, Bolt, Nadal entre autres rĂ©vĂ©lant l’envers du dĂ©cor de leurs performances, leurs doutes, leurs efforts. On parle souvent du mental des champions, on comprend ici le tempĂ©rament et la force de caractĂšre de ceux qui en ont la trempe. La piĂšce se savoure comme un film de cinĂ©ma tant certains tableaux sont presque en fondu enchainĂ© avec des effets de lumiĂšre qui dĂ©limitent les zones de jeu piste d’athlĂ©, vie de famille, zone de doute et de blessure. Elle se savoure car elle met en exergue avec brio, humour et Ă©motion, le sacrifice qui se cache derriĂšre l’exploit, oĂč quand le vernis de la performance craque. Elle interroge aussi sur la place du temps dans la vie d’une athlĂšte prise dans la spirale de sa carriĂšre et qui dĂ©couvre l’ennui, le temps long dans la blessure. On est souvent fascinĂ© par l’exploit sportif, on ressort de la piĂšce avec de la compassion tant le dĂ©passement de soi, le niveau d’exigence et d’engagement forgent le respect. Est-on prĂȘt Ă  tout pour poursuivre son rĂȘve ? La rĂ©ussite est-elle Ă  ce prix ? Et si finalement la rĂ©alisation de ses envies, le chemin vers son propre bonheur passait dĂ©jĂ  par se faire plaisir avant tout pour soi ? Une belle leçon de sport ! Je ne cours pas je voleUne piĂšce d’Elodie MenantPar ATELIER THEATRE ACTUELCo-produit par la Cie Carinae et Alyzee crĂ©ationsMISE EN SCÈNE Johanna BoyĂ©DISTRIBUTION Vanessa Cailhol, Olivier Dote Doevi, Axel Mandron, Elodie Menant, Youna Noiret, Laurent Paolini Dates et lieux des reprĂ©sentations - Au Théùtre du Roi RenĂ© du au - Festival Avignon Off 2021 - Du 7 au 31 juillet 2021

JENE COURS PAS JE VOLE ! (Théùtre) - jeudi 2 fĂ©vrier 2023 - Théùtre de la Fleuriaye, Carquefou, 44470 - Toute l'info sur l'evenement L et J Histoire d’amourEp6, Dis-moi pourquoi ne sommes plus ensemble? PlanĂšte Tinder Nouveau trajet entre les Ă©toiles et les planĂštes, j’apercevais une Ă©toile filante. Je fis le vƓu de la retrouver et vis son sourire dans les filaments de feu de la comĂšte. Ressassant les propos de la devineresse, je me promis de ne plus balayer d’un revers de main les intĂ©rĂȘts de ma belle pour les entrelacs du destin. Comme l’écrivait Jules Laforgue Nous sommes aimĂ©s comme des fous, nous nous sommes quittĂ©s sans en parler. MalgrĂ© les heures passĂ©es Ă  discuter, je ne lui avais posĂ© que peu de questions sur elle. ObsĂ©dĂ© par nous, par moi, je croyais avoir le temps, comme toujours, je ne sentais pas qu’elle ne serait plus lĂ . Ah! C’est quand le temps a fui qu’on en mesure sa valeur! Mes fluctuations philosophiques ne freinaient pas la courbe oblique de mon ascenseur magique. Nous arrivions dans l’orbite d’une petite planĂšte, de la taille de la Lune. Sa surface, vue de l’espace, clignotait sans arrĂȘt, sauf un faisceau continu qui traçait le mot Tinder ». J’eus un mouvement de redressement du dos. Je ne savais pas que la sociĂ©tĂ© Ă©tait prĂ©sente dans l’espace
. J’atterris au milieu de la planĂšte devant un building en verre, comme on en trouve dans les grands centres d’affaire des mĂ©tropoles. En haut du gratte-ciel, Ă©videmment, s’affichait une grande enseigne Tinder. Le mot ressemble Ă©trangement Ă  Kinder, comme pour Ă©voquer une friandise. J’entrai dans un hall immense, trĂšs moderne, aux lignes Ă©purĂ©es. Personne ne s’y trouvait. Je ne voyais que des robots qui nettoyaient le sol, les carreaux, s’affairaient sur des Ă©crans, et volaient ou roulaient dans tous les sens, certainement en train d’accomplir une tĂąche pressante. Un hologramme fĂ©minin se matĂ©rialisa devant moi. C’était l’image d’une jolie femme sensuelle, sans vulgaritĂ©. Sa voix douce et mĂ©lodieuse m’informa – Bonjour Dormeur d’amour, vous ĂȘtes attendu par notre prĂ©sident, veuillez me suivre s’il vous plaĂźt ? » Et je la suivis, ou plutĂŽt je suivis un hologramme sans consistance. AprĂšs une petite marche, qui me parut infinie dans ce dĂ©cor de science-fiction capitaliste, je me retrouvai devant un ascenseur. – Notre prĂ©sident Ă  son bureau au quatre-vingt troisiĂšme et dernier Ă©tage. Il est ravi de vous recevoir, montez donc, me dit l’ectoplasme Ă©lectronique avec un sourire dans la voix et sur les pixels de son visage. » Je ne savais pas trop si je devais remercier un hologramme, par habitude politesse, je le fis quand mĂȘme. Depuis mon dĂ©part dans les Ă©toiles, c’était la premiĂšre fois que j’empruntai un autre ascenseur que le mien. Il monta en ligne droite Ă  grande vitesse. Toutes les parois transparentes me permirent de voir l’intĂ©rieur de chaque Ă©tage. Et je ne vis que des serveurs Ă©lectroniques avec des diodes vertes et rouges qui ne cessaient de clignoter. Chaque clignotement signifiait-il une inscription, un Ă©change, une rencontre? J’étais dubitatif. Le voyant lumineux de l’ascenseur affichait 83. L’ascenseur s’arrĂȘta, j’étais arrivĂ©. Les portes s’ouvrĂšrent sur un bureau gigantesque ouvert sur une terrasse avec piscine et vĂ©gĂ©tation. La vue Ă©tait Ă©poustouflante Ă  cette altitude. À ma droite, un espace salon avec canapĂ©s, et table basse. À ma gauche, un bar qui aurait pu se trouver sur la plage d’une Ăźle paradisiaque. Face Ă  moi, un bureau fonctionnel et design. Et derriĂšre, sur le fauteuil de bureau en cuir le plus clinquant et confortable que je n’avais jamais vu, un homme vĂȘtu d’un costume Ă  plusieurs milliers d’euros, une montre encore plus chĂšre au poignet, qui avait un sourire aux dents parfaitement alignĂ©es d’une blancheur immaculĂ©e, qui valait plus que la montre et le costume rĂ©unis. Il se leva rapidement. – Ah! Bonjour Dormeur d’amour! Vous allez bien? Vous avez l’air en forme. Vous dĂ©sirez un verre, un cafĂ©? Asseyez-vous enfin, m’accueillit-il avec une implication commerciale impeccable. – Bonjour Monsieur. Je vous remercie, je vais juste m’asseoir. Et je joignis le geste Ă  la parole. – Je suis ravi Dormeur d’amour d’enfin vous rencontrer. La galaxie bruisse de votre nom, de votre personnalitĂ©. Vous ĂȘtes en quĂȘte Ă  ce qu’il paraĂźt? Vous ĂȘtes Ă  la bonne porte ! Tinder ne peut que vous aider! Vous ĂȘtes bien cĂ©libataire? Notez que pour nous, cela a peu d’importance. C’est seulement pour comprendre votre profil, dit-il avec cette amabilitĂ© trĂšs amĂ©ricaine qui cherche Ă  donner l’impression qu’une nouvelle connaissance est dĂ©jĂ  ancienne. – Euh, oui, je suis cĂ©libataire depuis quelques mois
rĂ©pondis-je avec moins d’entrain que lui. – Ah! Je vois. Et n’avez-vous pas penser Ă  utiliser nos services? – Euh, non, je ne suis pas trĂšs applications
 – Bon sang, vous dites vrai, aucune trace d’une quelconque inscription. Votre rĂ©putation n’est pas usurpĂ©e, vous ĂȘtes un cas d’espĂšce
marmonna-t-il en pianotant sur sa tablette. – Je ne suis pas trĂšs Ă  l’aise avec l’amour numĂ©rique. Voyez-vous je suis plutĂŽt romantique
avançai-je pour m’expliquer alors que je n’avais pas Ă  le faire. – Ah, mais nous avons aussi des romantiques sur notre site! Et vous ĂȘtes un homme, pas trop mal fait de votre personne, vous devez bien avoir des envies, des besoins? m’interrogea-t-il avec un clin d’Ɠil. – Oui, je ne suis pas un moine, mais je le dĂ©brouille Ă  l’ancienne avec des rencontres dans le monde rĂ©el. – Bien, bien, balaya-y-il d’un geste de la main. Cependant, vous allez profiter de possibilitĂ©s infinies de rencontres. Je vais me charger de vous et vous concocter un profil qui attirera le sexe, la passion, l’amour mignon, le romantisme mĂȘme! acheva-t-il trĂšs satisfait. – Je vous remercie pour votre sollicitude, mais je ne suis pas lĂ  pour cela. Je suis en quĂȘte de rĂ©ponses. Alors, si vous souhaitez m’aider, dites-moi pourquoi ne sommes-nous plus ensemble ? demandai-je sans grand espoir. – Dormeur d’amour, Tinder ne traite pas les sĂ©parations, mais les rencontres
 Nous ne sommes pas l’avant, nous sommes l’aprĂšs. Nous ne sommes pas la cause, nous sommes les heureuses consĂ©quences, dĂ©clina-t-il avec son plus beau sourire colgate. – Mais elle a utilisĂ© votre application, Ă  plusieurs reprises, je le sais. Donc, Tinder peut ĂȘtre une cause de sĂ©paration, assenai-je. – Vous devriez faire comme elle. Elle a rĂ©duit la peine de votre rupture en recherchant quelques charmantes aventures. Nous sommes fiers de pouvoir aider les gens Ă  retrouver de nouveau confiance et sentiments! – Elle a utilisĂ© Tinder quand nous vivions ensemble
. – Ouch, dĂ©solĂ© pour vous Dormeur d’amour
 Tinder dĂ©cline toute responsabilitĂ© quant Ă  votre rupture. Nous fournissons simplement un service, libre Ă  tous de l’utiliser ou non, rĂ©cita-t-il comme une formule bien apprise. – Je ne vous accuse de rien. Ou sinon, cela serait beaucoup plus vaste que ma petite personne, sur la tentation et la consommation, et la maniĂšre dont elles changent nos rapports pour le pire ou pour le bon. Mais, non, la responsabilitĂ© pĂšse sur mes Ă©paules et sur les siennes, pas sur les vĂŽtres. Comme je vous le disais, je recherche des rĂ©ponses. Et si j’ai Ă©tĂ© menĂ© ici, vous en possĂ©dez certainement une. Je sais qu’elle s’est inscrite sur Tinder, qu’elle a dĂ» Ă  certains moments en avoir une utilisation compulsive, comme tout le monde j’imagine, et qu’elle y a fait des rencontres. Ce n’est pas cela qui m’intĂ©resse
. Je cherche Ă  savoir pourquoi elle s’est inscrite sur votre site alors qu’elle Ă©tait avec moi, pour ne pas rĂ©pĂ©ter les mĂȘmes erreurs si jamais nous nous retrouvions une nouvelle fois
terminai-je ma longue explication. – Hum. Vous ĂȘtes en effet une espĂšce Ă  part. Je ne peux avoir qu’affection et admiration pour votre quĂȘte et votre amour profond. Heureusement que vous ĂȘtes un peu unique, sinon on mettrait la clef sous la porte! Sans dĂ©voiler de secrets, briser le sceau de la confidentialitĂ©, je vais voir ce que je peux faire. » Et il pianota frĂ©nĂ©tiquement sur sa tablette Ă©lectronique. Ses yeux allaient dans tous les sens. En mĂȘme temps, il me parlait – Oui, vous aviez raison. Plusieurs fois. DĂ©solĂ© encore, des discussions avec des crushs d’aprĂšs les horaires peut-ĂȘtre mĂȘme en votre prĂ©sence. Des Ă©changes de compte What’app , donc des rencontres. Plusieurs.  énumĂ©ra-t-il comme si je n’étais pas lĂ . – Pour la confidentialitĂ©, c’est pas terrible Monsieur Tinder
Je souhaite juste savoir si un indice me permettrait de comprendre pourquoi elle a entrepris cette dĂ©marche qui assurĂ©ment ne lui plaisait pas, ni Ă©videmment Ă  moi, dis-je en l’interrompant. – Ah , pardon, pardon. Je me laisse aller. Elle a Ă©tĂ© une bonne cliente pendant un temps, et il semble que nous l’ayons perdu. C’est chez nous la rançon du succĂšs, mais souvent les clients reviennent. Pardon, pardon, dĂ©viation professionnelle. Alors, ah, intĂ©ressant. Elle employait de fausses identitĂ©s, non son vrai prĂ©nom, et elle dĂ©sirait de la lĂ©gĂšretĂ© et de l’écoute. Cela vous aide-t-il Dormeur d’amour? me demande-t-il avec la voix de celui qui cherche une approbation. – Pour l’écoute, je l’ai dĂ©jĂ  appris
 Peut-ĂȘtre
 Vous qui avez l’habitude, qu’en pensez-vous? – Avez-vous mis du temps Ă  vous sĂ©parer ? – Oui. – Enfin, pensez-vous qu’elle le dĂ©sirait ? -
..Non, elle ne le voulait pas. C’est la situation qui a menĂ© Ă  la sĂ©paration. – D’aprĂšs mon expĂ©rience d’analyse de millions d’informations et de profils, je peux vous dire Dormeur d’amour qu’elle voulait s’amuser, plutĂŽt jouer avec sa personnalitĂ©, avec d’autres, et en secret avec vous. Mais vous, vous ne vouliez pas jouer? – Non
. C’est vrai qu’elle est joueuse. Merci pour votre temps, et pour votre aide finalement. » Je me levai, et aprĂšs avoir saluĂ© mon hĂŽte qui semblait triste de me voir partir, je refus le chemin inverse qui m’avait menĂ© Ă  son bureau. D’un geste de la main, je dis au-revoir Ă  mon hĂŽtesse hologramme, et revins ensuite dans les pĂ©nates de mon ascenseur. C’est l’esprit en Ă©bullition que j’entendis la petite voix familiĂšre – Je suis dĂ©solĂ©e J., mais j’avais besoin de lĂ©gĂšretĂ©, de jouer, et toi tu ne l’as pas vu
 – Oui, j’en suis dĂ©solĂ© pour toi. J’ai oubliĂ© dans notre couple le jeu, c’est vrai
Mais, tu as quand mĂȘme un peu abusĂ© mon amour
 – Oui mon chĂ©ri, c’est pour cela qu’il est difficile de te voir, car je me rappelle ce que j’ai perdu mais aussi ce que j’ai fait, et je n’aime ni l’un, ni l’autre
. ». Et comme d’habitude, la voix me quitta
À suivre
 Les prĂ©cĂ©dents Ă©pisodes Dis- mois, Pourquoi ne sommes-nous plus ensemble? 1 L et J Dis-moi, pourquoi ne sommes-nous plus ensemble?2 De la psychologie L et J Dis-moi, pourquoi ne sommes-nous plus ensemble?3 Une petite Catalane L et J Histoire d’amourEp4Dis-moi pourquoi ne sommes-nous plus ensemble?Ep4 Un jardin sidĂ©rant. L et J, Histoire d’amour 5 Dis-moi pourquoi ne sommes-nous plus ensemble?Ep5 La cartomancienne Page Facebook CoursJulien Twitterlescoursjulien Contact lescoursjulien Cettehistoire insuffle une Ă©nergie transcendante, l’élan qu’il nous est nĂ©cessaire de mobiliser pour rĂ©aliser de grandes aventures ! Je ne cours pas, je vole ! nous embarque dans la course semĂ©e d’obstacles de Julie Linard, personnage au tempĂ©rament fort, dĂ©terminĂ© et acharnĂ©. Pensez Ă  tĂ©lĂ©charger vos e-billets. CatĂ©gories d’évĂšnement Loire-AtlantiqueNantes Je ne cours pas, je vole ! – Saison Fleuriaye Fleuriaye La, 2 fĂ©vrier 2023, Carquefou. 2023-02-02 Horaire 2045 2215 Gratuit non de 26 € Ă  48,50 €BILLETTERIES Ă  l’unitĂ© Ă  partir du 28 juin 2022 - sur Ă  la Fleuriaye – du mardi au vendredi de 14h30 Ă  18h Théùtre. Une ode Ă  la passion du sport, au dĂ©passement de ses propres limites pour atteindre son rĂȘve gagner les Jeux Olympiques !AprĂšs le succĂšs de “Est-ce que j’ai une gueule d’Arletty ?”, prĂ©sentĂ© la saison derniĂšre, cette nouvelle collaboration d’Élodie Menant et Johanna BoyĂ© nous embarque dans le quotidien de Julie Linard, une athlĂšte qui prĂ©pare les Jeux scĂšne, 6 comĂ©diens incarnent avec vitalitĂ© 26 personnages, pour illustrer la rĂ©alitĂ© du monde des sportifs de haut niveau entraĂźnements rĂ©pĂ©titifs, acceptation de la souffrance, Ă©loignement des proches, sacrifice d’une jeunesse normale
 La narration ne rĂ©pond pas Ă  un ordre chronologique classique on assiste Ă  de nombreux flash-back, mais aussi aux cauchemars de Julie, par l’intervention de ses quatre idoles qui viennent la conseiller Bolt, Nadal, Manaudou et Gebreselassie
 On y dĂ©couvre aussi les diffĂ©rents points de vue d’une compĂ©tition Ă  laquelle assistent les commentateurs sportifs dans leur cabine, la famille dans les gradins ou Ă  la tĂ©lĂ©vision, et de l’athlĂšte sur la piste
 Virevoltant ! Par le biais du sport, cette piĂšce aborde des sujets bien plus larges et universels, tels que la discipline, l’engagement et le courage nĂ©cessaire pour rĂ©aliser ses rĂȘves. Écriture Élodie MenantMise en scĂšne Johanna BoyĂ©Avec Vanessa Cailhol, Olivier Dote Doevi, Axel Mandron, Elodie Menant, Youna Noiret, Laurent PaoliniCrĂ©ation sonore Mehdi BourayouChorĂ©graphie Johan Nus DurĂ©e 1h30 Tout public Ă  partir de 10 ans Fleuriaye La Carquefou 44470 02 28 22 24 24 theatre Cliquez ici pour ajouter gratuitement un Ă©vĂ©nement dans cet agenda Carquefou Loire-Atlantique Carquefou Loire-Atlantique VeraSharav oublie juste de mentionner la collaboration active au cours de la 2Ăšme guerre mondiale entre sionistes et nazis; le but de l’holocauste Ă©tant d’envoyer les juifs Programme TV /Je ne cours pas, je vole !Culture - ThéùtreNon diffusĂ© en ce moment Ă  la tĂ©lĂ©visionCulture - ThéùtreUne radioscopie de la course semĂ©e d'obstacles d'une athlĂšte de haut niveau, un personnage au tempĂ©rament fort, dĂ©terminĂ© et fĂ©rocement radioscopie de la course semĂ©e d'obstacles d'une athlĂšte de haut niveau, un personnage au tempĂ©rament fort, dĂ©terminĂ© et fĂ©rocement Molotov pour regarder la TV diffusĂ© en ce moment Ă  la tĂ©lĂ©vision
ETREOU NE PAS ETRE . Théùtre Creanova Bruxelles. Texte et jeu : Luca Franceschi. Venez vivre l’expĂ©rience unique d’un spectacle Ă©ternel Un comĂ©dien dĂ©cide de rĂ©aliser le rĂȘve de sa vie : jouer dix monologues des plus grands hĂ©ros de l’Ɠuvre de Shakespeare : hamlet, Richard III, Othello, Macbeth
Bonjour Ă  tous, Pour continuer de vous partager mes dĂ©couvertes du Festival Off d’Avignon; je vais vous parler de la nouvelle piĂšce Ă©crite par Élodie Menant Je Ne Cours Pas; Je Vole. Mise en ScĂšne par Johanna BoyĂ©; elle est interprĂ©tĂ©e par Vanessa Cailhol, Élodie Menant, Youna Noiret, Olivier Dote Doevi, Laurent Paolini et Axel Mandron. L’Histoire Se DĂ©passer pour atteindre son rĂȘve; voilĂ  l’envie et l’ambition de Julie Linard Vanessa Cailhol. S’entraĂźner tout les jours pour pour courir le 800 mĂštres aux Jeux Olympiques ; tel est son rĂȘve. Soutenue par son pĂšre Laurent Paolini et son frĂšre Axel Mandron, et ce malgrĂ© les rĂ©ticences de sa mĂšre Élodie Menant Ă  cause des soucis de santĂ© de sa fille; elle va tout de mĂȘme vouloir aller jusqu’au bout de son rĂȘve. Une blessure lors d’une course aux JO va briser son rĂȘve; mais malgrĂ© cela, elle va vouloir retenter sa chance et aller jusqu’au bout de sa course et de sa passion, avec dans son esprit les carriĂšres et la force de LĂ©gendes tels que Usain Bolt Olivier Dote Doevi, Laure Manaudou Élodie Menant, Rita Plotnikova Youna Noiret, Rafael Nadal Laurent Paolini et Haile Gebreselassie Axel Mandron; qui malgrĂ© leur vie et les dangers qu’ils ont croisĂ© dans leur carriĂšre, ont toujours cherchĂ© Ă  se dĂ©passer et n’ont jamais abandonnĂ© leur rĂȘve
 Mon Avis AprĂšs Est-ce que J’ai Une Gueule D’Arletty ?; Élodie Menant nous fait vivre les doutes, les embĂ»ches, le dĂ©passement de soi et la force d’aller au bout de ses rĂȘves en prenant comme Ă©crin » le milieu sportif et de la compĂ©tition. Encore une fois son Ă©criture est un fabuleux mĂ©lange de tendresse, de drame et d’humour pour traiter d’un sujet aussi fort et Ă©mouvant que de vouloir rĂ©aliser ses rĂȘves, peu importe le prix. La mise en scĂšne de Johanna BoyĂ© est juste magistrale; avec de superbes musiques composĂ©es par Mehdi Bourayou et des chorĂ©graphies absolument magnifiques signĂ©es Johan Nus, qui nous permettent d’entrer encore plus dans l’esprit de cette jeune demoiselle et de toutes ces lĂ©gendes du sport. La distribution est tout aussi excellente et dĂ©licieuse que l’histoire et aux 26 personnages auxquels ils donnent vie. Vanessa Cailhol est merveilleuse dans le rĂŽle de la jeune Julie Linard; passionnĂ©e de course malgrĂ© son asthme et voulant Ă  tout prix rĂ©aliser son rĂȘve. Élodie Menant alterne avec brio et dĂ©licatesse les rĂŽles de la mĂšre de Julie, l’entraĂźneuse de Rita Plotnikova et La championne de natation Laure Manaudou; Youna Noiret enchaĂźne divinement des personnages diamĂ©tralement opposĂ©s, tel la gymnaste Rita Plotnikova et l’adversaire principale de Julie, L’amĂ©ricaine Samantha Wilsen. Axel Mandron est tellement attendrissant dans le rĂŽle d’Alex, le petit frĂšre de Julie, et dans celui de Haile Gebreselassie ; et trĂšs drĂŽle et froid dans le rĂŽle de l’entraĂźneur de Julie; Olivier Dote Doevi est hilarant a souhait dans son personnage de commentateur sportif, drĂŽle et touchant dans celui d’Usain Bolt et tout simplement beau dans celui du petit ami de Julie; et Laurent Paolini, que j’avais plus vu dans des comĂ©dies ces derniers temps; est d’une tendresse majestueuse dans le rĂŽle du pĂšre de Julie, drĂŽle et fort en Rafael Nadal et trĂšs amusant en second commentateur. De Gauche Ă  droite Vanessa Cailhol, Olivier Dote DoĂ©vi, Laurent Paolini, Axel Mandron, Youna Noiret et Élodie Menant. Une Magnifique leçon de vie; portĂ©e par 6 ComĂ©diens extraordinaires et aux multiples talents qui nous atteignent en plein cƓur avec ces messages remplis d’espoir. On en sort avec l’envie d’aller, comme Julie Linard, au bout de nos rĂȘves et de nos forces
 Je Ne Cours Pas; Je Vole » d’Élodie Menant; Mise en scĂšne de Johanna BoyĂ©; Musique de Mehdi Bourayou; ChorĂ©graphies de Johan Nus; avec Vanessa Cailhol, Élodie Menant, Youna Noiret, Laurent Paolini, Olivier Dote DoĂ©vi et Axel Mandron. Au théùtre du Roi RenĂ© Avignon jusqu’au 31 Juillet Ă  15h20 relĂąches les 12,19 et 26 Juillet. RĂ©servation
cVlUAYT.
  • i9abwyl80j.pages.dev/35
  • i9abwyl80j.pages.dev/14
  • i9abwyl80j.pages.dev/12
  • i9abwyl80j.pages.dev/22
  • i9abwyl80j.pages.dev/77
  • i9abwyl80j.pages.dev/84
  • i9abwyl80j.pages.dev/78
  • i9abwyl80j.pages.dev/61
  • i9abwyl80j.pages.dev/87
  • je ne cours pas je vole theatre